Le véhicule, conçu sur la plate-forme modulaire «smart car» du groupe, partagera sa base technique avec les futurs Citroën C3 Aircross et Opel Crossland. Long d’environ 4,40 m, il s’inscrira dans le segment des SUV compacts et sera décliné en motorisations thermique, micro-hybride et électrique, en fonction des marchés. Son arrivée est prévue pour octobre 2025.
L’usine marocaine de Kénitra, où sont déjà assemblées la Peugeot 208 et les quadricycles électriques Citroën Ami, Opel Rocks-e et Fiat Topolino, bénéficie d’un investissement de 300 millions d’euros annoncé fin 2022. Stellantis entend ainsi porter sa capacité de production à 400 000 véhicules par an d’ici 2030, auxquels s’ajouteront 50 000 quadricycles. À cet horizon, 40 % des modèles commercialisés par le groupe en Afrique et au Moyen-Orient reposeront sur l’architecture «smart car».
Fiat vise une transition vers le tout-électrique en Europe d’ici 2027. La fin de carrière de la Tipo et du 500X, tous deux produits respectivement en Turquie et en Italie, s’inscrit dans cette réorganisation industrielle.
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