« Un bad buzz », « des proportions démesurées », « une polémique pour rien », « une tempête dans un verre d’eau »…Le traitement réservé par la presse classique à l’affaire des déchets italiens a notoirement cherché a minimisé l’ampleur du dossier, prenant quelque part le parti officiel. Mais avec toute sa puissance et sa crédibilité, cette machine n’a pas réussi à dégonfler cette bulle faite d’ordures que les réseaux sociaux alimentent chaque minute un chwia de plus.
D’ailleurs, il faut bien le souligner, le scandale (si l’on peut le qualifier ainsi) a éclaté au niveau de ces derniers et la presse conventionnelle a pris le train en marche.
Tout a été dit ou presque sur ce sujet. Mais cette affaire révèle une fois de plus le décalage saisissant et grandissant entre deux sociétés : celle du papier et celle du digital.
Le résultat on le sait d’avance : c’est la technologie qui gagnera.