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Greenwashing: ces marques qui deviennent 100 % eco responsables

Les entreprises affichent de plus en plus souvent leurs préoccupations sociales et environnementales pour conquérir des clients

Fondée à La Rochelle en 1999, la marque Soöruz (vêtements de glisse) connaît une crise de croissance en 2012. Elle s’en sort par une réorientation stratégique : elle lance Green line, une combinaison de surf en bioprène, à base de poudre d’huîtres et de sucre de canne. Pour Olivier Londeix, le virage de Soöruz illustre l’affichage des valeurs sociales et/ou environnementales de plus en plus revendiquées par les marques dans leur communication.

Autre illustration de cette tendance, Les paysans de Rougeline, marque de producteurs créée en Provence en 1995, mais basée à Marmande (Lot-et-Garonne) depuis 2001. Rougeline a d’abord misé sur des écoserres chauffées par géothermie dans les Landes. Ne pouvant prétendre au bio en raison de la culture hors sol, elle tente ensuite, depuis 2017, le pari des fraises ou tomates estampillées « zéro résidus de pesticides ». Un essai de troisième voie, entre l’agriculture conventionnelle et la bio.

À La Rochelle depuis 1999, la marque Jardin bio étic propose en grande surface des produits alimentaires qui veulent aller plus loin que les normes du bio. Elle participe au commerce équitable pour 20 % de ses produits (objectif 25 % en 2025) et à la relocalisation des approvisionnements : 80 % des produits poussent en France.

(Sudouest.fr)

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