Des chercheurs et des start-ups travaillent activement à concevoir des panneaux de plus en plus économes en ressources, en explorant des stratégies telles que la réduction de l’épaisseur des pistes d’argent, l’utilisation du cuivre, et le recours à des wafers exempts de lingots de silicium. Toutes ces approches sont minutieusement étudiées.
Gaëtan Masson, président de l’Institut Becquerel, une société de conseil belge spécialisée dans le secteur, souligne que, selon les projections de marché et en tenant compte des technologies actuelles, l’industrie photovoltaïque pourrait absorber de 30 à 60 % de la demande mondiale d’argent d’ici à 2028 ou 2030.
Ces chiffres mettent en évidence l’ampleur du défi posé par la demande en matériaux dans le contexte de la généralisation de l’énergie solaire.
Source : Usinenouvelle.com